« Il y a une exception française de la politique de la ville qui n’a pas pris le chemin du développement communautaire, devenu pourtant une source d’inspiration majeure pour la politique de la ville de différents pays européens et évidemment d’Amérique du nord. Il semble préférable de parler de développement communautaire (community development) plutôt que du community organizing qui n’est que l’une des étapes ou l’un des volets de la construction d’une capacité d’action collective des quartiers. Compris comme une technique de mobilité des habitants et de détection de leadership, le community organizing n’est d’ailleurs pas l’activité dominante des Community development corporations qui sont l’équivalent américain de nos équipes DSU. »